À l’occasion de la Semaine nationale de la police, qui se déroule du 10 au 16 mai, nous remercions nos 13 577 membres de la Course au flambeau des agents de la paix (CFAP) de partout au Canada en présentant certaines de leurs histoires. Ces agents de la paix canadiens mettent de leur temps personnel au service d’Olympiques spéciaux pour sensibiliser le public et amasser des fonds essentiels. La CFAP est le plus important organisme communautaire de sensibilisation et de collecte de fonds au profit d’Olympiques spéciaux dans le monde. Profitons de cette occasion pour souligner le rôle extraordinaire des agents de la paix dans la vie des athlètes et des familles d’Olympiques spéciaux.

À la rencontre de Kristi MacKay, membre dévouée de la CFAP de l’Île-du-Prince-Édouard

Kristi, dressed in her police uniform, poses for a photo with an athlete holding a trophy.
Kristi MacKay et sa meilleure amie Erin Pippy-French.

Kristi MacKay, agente de ressources scolaires, est une membre dévouée du Comité de la Course au flambeau des agents de la paix (CFAP) de l’Île-du-Prince-Édouard et une fidèle participante du Défi de l’ours polaire annuel de la province. C’est avec une générosité sans bornes qu’elle accomplit des tâches supplémentaires et crée des expériences inoubliables pour les athlètes d’Olympiques spéciaux, comme organiser une fête au poste de police pour célébrer un 20e anniversaire.

1.    Quel est votre rôle par rapport à l’application de la loi?

Je suis agente de ressources scolaires dans les écoles secondaires. Mon service constitue également une ressource pour toutes les écoles préparatoires. 
Avant d’occuper mon poste actuel, j’ai été patrouilleuse de première ligne pendant 10 ans. 

2.    Quand et pourquoi êtes-vous devenue agente de la paix?

J’ai commencé ma carrière dans le domaine de l’application de la loi en 2009, à l’âge de 19 ans, au sein du Service de police de Charlottetown. Je voulais entreprendre une carrière qui me permettrait de travailler avec les gens, dans la collectivité où j’ai grandi. 

3.    Qu’aimez-vous de votre travail?

J’aime aider les gens qui sont dans le besoin et participer à des initiatives communautaires. C’est toujours gratifiant d’entendre parler d’interactions positives que nous avons eues avec les gens, qu’il s’agisse d’histoires concernant un seul policier ou l’ensemble du Service.

4.    Quel a été le moment fort/préféré de votre carrière?

Le moment fort de ma carrière jusqu’à présent a été l’obtention de mon poste d’agente de ressources scolaires. 

5.    À quel titre participez-vous à la CFAP?

Je participe à la CFAP de l’Île-du-Prince-Édouard en tant que membre du comité. J’ai commencé à m’impliquer en 2011. J’ai participé à la dernière étape de la CFAP pour les Jeux de 2018 à Antigonish, en Nouvelle-Écosse, et pour les Jeux de 2020 à Thunder Bay, en Ontario.

6.    Quand et pourquoi avez-vous commencé à vous impliquer auprès d’Olympiques spéciaux/de la CFAP?

J’ai commencé à m’impliquer auprès de la CFAP, car je voulais faire partie de quelque chose de beaucoup plus grand que moi. C’était une occasion de faire partie d’une famille de personnes qui se rassemblent au nom du sport, de l’esprit sportif et de la camaraderie. 

7.    Quel est votre moment/souvenir préféré par rapport à Olympiques spéciaux/la CFAP?

Mon plus beau souvenir d’Olympiques spéciaux et de la CFAP, c’est mon arrivée avec la Flamme de l’espoir à mes premiers Jeux nationaux à Antigonish, en Nouvelle-Écosse. J’y ai ressenti un sentiment électrisant; c’est un souvenir que je garde très précieusement. Il n’y a rien de tel que de courir avec l’équipe et d’arriver avec le flambeau. 

Juste avant, j’étais allée retrouver l’équipe d’Olympiques spéciaux Île-du-Prince-Édouard qui se préparait à défiler à la cérémonie d’ouverture et j’ai couru dans la file d’athlètes en leur tapant dans la main. 

Je m’en voudrais de ne pas mentionner mes deuxièmes Jeux nationaux, auxquels a participé Erin Pippy-French. J’ai eu la chance de voir cette quilleuse d’Olympiques spéciaux Île-du-Prince-Édouard porter fièrement notre drapeau provincial à la cérémonie d’ouverture des Jeux d’hiver d’Olympiques spéciaux Canada 2020 à Thunder Bay, accompagnée de son équipe. Je l’ai entendue crier mon nom et je me suis arrêtée pour lui faire signe en courant avec la Flamme de l’espoir lors de la cérémonie d’ouverture. Si elle était fière de connaître l’une des membres de la CFAP, j’étais encore plus fière de l’appeler ma meilleure amie. 

8.    Comment Olympiques spéciaux et la CFAP ont-ils changé votre vie?

Olympiques spéciaux et la CFAP ont changé ma vie en me permettant de nouer des amitiés durables par l’entremise de mon métier, du sport, des Jeux, de la participation communautaire et du bénévolat.

9.    Pourquoi d’autres agents de la paix devraient-ils participer à la CFAP?

D’autres agents de la paix devraient donner de leur temps à la CFAP, car il existe un lien très fort entre les membres de la CFAP et les athlètes d’Olympiques spéciaux. Il est impossible d’imaginer à quel point d’autres personnes peuvent enrichir notre vie et changer notre façon de voir les choses tant qu’on ne s’implique pas. 
Il suffit d’assister à un premier événement communautaire lié à la CFAP pour comprendre pourquoi les membres du comité se portent bénévoles pendant plusieurs années. La CFAP devient quelque chose qui nous suit tout au long de notre carrière et au-delà. 

 

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